Depuis quelques années, on assiste à un changement de discours dans les campagnes de communication des industriels du tabac. Finies les images de cowboys virils ou de glamour hollywoodien. Place à la technologie, à la “réduction des risques”, au “progrès”. Le tabac chauffé et la cigarette électronique sont désormais présentés comme des alternatives “plus saines”, des outils pour “mieux vivre sa nicotine”, voire, pour certains, comme des aides au sevrage.

Mais qu’en est-il vraiment ? Et surtout, à qui profitent ces discours ?

Derrière ces promesses de modernité se cache une stratégie parfaitement huilée, issue des mêmes groupes industriels qui ont menti, nié, manipulé pendant des décennies. Les mêmes qui affirmaient autrefois que “fumer n’est pas dangereux”, ou que “la nicotine n’est pas addictive”. Aujourd’hui, ils changent simplement de costume. Mais le rôle est le même : maintenir la dépendance, élargir le marché, et brouiller les pistes.

Une reconversion stratégique… et très rentable

Les géants du tabac ont parfaitement compris que les tendances évoluaient. Le tabac classique est en chute libre dans de nombreux pays développés, les lois antitabac se durcissent, les jeunes générations se méfient.

Pour préserver leur chiffre d’affaires, les multinationales se sont repositionnées, non pas en acteurs repentis de la santé publique, mais en maîtres du “domptage de la dépendance”. En clair : elles proposent maintenant une autre manière de consommer la nicotine, mais toujours avec une forte dépendance, une rentabilité maximale, et un marketing agressif.

Voici quelques exemples :

 

Ces dispositifs ne sont donc pas une alternative extérieure à l’industrie du tabac. Ils en sont l’évolution directe, portée par les mêmes entreprises, avec les mêmes objectifs.

Les vieilles recettes de manipulation… toujours efficaces

L’histoire de l’industrie du tabac est marquée par des décennies de désinformation. Quand les premières preuves scientifiques ont montré le lien entre tabac et cancer, ils ont nié. Puis quand les preuves se sont accumulées, ils ont semé le doute. Puis, ils ont reconnu, à demi-mot, pour mieux se positionner comme « partenaires de solution ».

Aujourd’hui, les méthodes sont les mêmes :

🧪 Financer des études biaisées

L’industrie sponsorise des recherches qui tendent à minimiser les risques des nouveaux produits. Ces études sont ensuite relayées dans les médias grand public, souvent sans mention claire des conflits d’intérêts. On brouille les pistes, on fait croire que “ce n’est pas si clair”, que “les scientifiques ne sont pas d’accord entre eux”.

📌 Exemple : certaines études sponsorisées affirment que l’IQOS libérerait « moins de substances toxiques » que la cigarette. Mais des études indépendantes montrent que les aérosols contiennent toujours des composés cancérigènes, des irritants et des substances oxydantes, et que les effets cardiovasculaires sont similaires à ceux du tabac classique.

🏛️ Influer sur les lois

Les groupes de pression de l’industrie sont toujours très actifs. Ils interviennent dans les institutions européennes, financent des think tanks, nouent des relations politiques pour freiner les interdictions ou assouplir la fiscalité sur les produits dits “réduits en risque”.

📱 Séduire les jeunes

Le design des produits, les arômes sucrés, les couleurs, les campagnes sur Instagram, Snapchat ou TikTok… tout est pensé pour toucher une cible jeune. Résultat : des adolescents qui n’ont jamais fumé testent la vape, s’y accrochent, et deviennent des consommateurs réguliers. Exactement comme dans les années 50, où les campagnes de cigarettes visaient les jeunes adultes.

🎯 L’OMS le dit très clairement : les produits de la nicotine, quels qu’ils soient, ne doivent pas être banalisés ni proposés comme une solution santé, surtout auprès des jeunes.

Des risques bien réels

Certains aiment dire que “c’est toujours mieux que de fumer”. Ce raisonnement est trompeur. Mieux ne veut pas dire bon. Ni inoffensif.

Tabac chauffé

Des études scientifiques menées en Allemagne, en Suisse et au Canada ont démontré que :

 

🔬 Source : “Toxicological evaluation of IQOS aerosol”, Tobacco Control, BMJ.

Cigarette électronique

La vape a été pensée à l’origine pour réduire les risques. Elle a permis à certains de sortir du tabac. Mais son usage généralisé et prolongé pose plusieurs questions :

L’hypnose : une vraie solution pour en sortir

Ce que proposent les industriels, ce n’est pas une sortie. C’est un transfert de dépendance. C’est troquer une cage contre une autre. Une illusion de liberté.

Mais il existe une autre voie : celle de la libération durable, par un accompagnement qui agit sur les racines inconscientes de la dépendance.

L’hypnose thérapeutique

Loin des clichés, l’hypnose permet de travailler en profondeur sur :

 

C’est un outil puissant, bienveillant, respectueux. Il ne s’agit pas de vous forcer à arrêter. Il s’agit de vous redonner les clés pour choisir librement.

📞 Prenez le premier pas vers votre liberté

Je suis Frédéric Garcia, hypnotiseur spécialisé dans l’accompagnement à l’arrêt du tabac et de la cigarette électronique. J’ai moi-même été dépendant, je sais ce que cela signifie. Aujourd’hui, j’aide d’autres personnes à sortir de ce piège avec humanité, clarté, et efficacité.

📍 Cabinet à Saint-Marcel-lès-Valence

📞 07 55 61 51 00

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Ne laissez pas ceux qui vous ont piégé vous vendre une nouvelle illusion.

Reprenez le contrôle. Reprenez votre souffle. Reprenez votre liberté.

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